Chaque écart est une leçon, pas un échec. Parfois, j’ai des Rebelles qui m’écrivent un peu en panique : “Jérémy, j’ai encore mangé du riz hier… ça vaut le coup que je continue sur la diète carnivore ?” Si vous faites un écart, ce n’est pas grave… si c’est vraiment un écart. Ce qui fait une différence, c’est ce que vous faites à long terme, la majeure partie du temps. Un écart n’est pas une nouvelle habitude. Si vous avez fait un écart, revenez simplement à la diète carnivore. Personnellement, je ne suis pas en mode 100% carnivore. Plutôt 97%. L’essentiel est ce que vous faites la plupart du temps. Plus vous passerez de temps en mode carnivore, plus vous verrez vos envies de sucre disparaître. Chaque repas est une opportunité de revenir sur le bon chemin. Ne laissez pas un écart devenir un abandon. La vraie victoire, c’est la constance sur le long terme. Reprenez là où vous vous étiez arrêté, continuez à nourrir votre corps de la meilleure manière, et les résultats suivront. Rappelez-vous : ce qui compte, c’est la direction, pas la perfection. Restez fort ! Jérémy Bambini
|
Pour recevoir le conseil du jour, rejoignez la Newsletter des Rebelles.
Aaah… vous aimez les hacks ? Je peux vous donner les miens, mais vous allez être déçu. J’y vais quand même : En voici 4 que j’ai gardés. Parce que tout le reste me ralentissait. 1. Un steak par jour Viande rouge. Œufs. Un peu de beurre. Du sel. C’est la base. C’est nourrissant. Et ça suffit. 2. Un kettlebell Un seul outil. Des mouvements fondamentaux. 20 minutes. Pas plus. Pas moins. Mais fait avec intensité et intelligence. 3. Le soleil Exposition quotidienne. Matin si possible. Et sans...
Vous n’avez pas besoin d’être en cétose pour aller bien. Rester en cétose constamment n’a jamais été le but de l’organisme humain. La preuve ? Votre foie sait transformer des protéines en glucose. Ça s’appelle la gluconéogénèse. Et c’est un mécanisme naturel, ancestral, vital. En clair : votre corps sortira de cétose s’il en a besoin. C’est normal. Et ce n’est pas un problème. Mais beaucoup l’oublient. Ils passent leurs journées à surveiller leur glycémie, à craindre chaque légume, à fuir la...
“Alors… vous êtes carnivore maintenant ?” C’est la question qu’on m’a posée après que j’ai partagé ce que je mange. Je comprends pourquoi. Le cerveau adore coller des étiquettes. Mais non. Je ne suis pas carnivore. Je ne suis pas paléo. Ni kéto. Ni quoi que ce soit qui finit en “o”. Je suis juste quelqu’un qui en a eu marre d’être baladé. Un jour, j’ai pris du recul. J’ai regardé ce qui me faisait vraiment du bien. Pas ce que disait le dernier podcast. Pas ce que faisaient les influenceurs....