Les shakes de whey sont un moyen pratique d’atteindre son quota de protéines journalier. Mais depuis que je suis une alimentation carnivore, je n’en prends plus, car je mange un peu plus de viande, donc plus de protéines et surtout… … ce que je mange est mieux assimilé. Vous n’avez donc pas besoin de whey. Une situation où je vois la whey utile serait d’être en déplacement dans une zone où la viande est de mauvaise qualité (ou inexistante). Si vous restez plusieurs jours sans protéines, cela pourrait être problématique. Mon aliment de choix quand je passe la journée dans un espace de coworking est une boîte de sardines sans huile. C’est pratique, durable et apporte une bonne source d’oméga-3, sans surcharger l’estomac. Les œufs durs sont une bonne alternative, même si ce mode de cuisson n’est pas optimal. Ça reste une bonne source de protéines légères et de graisses. Vous n’avez pas besoin de shakes de whey, car la viande vous apporte tout ce qu’il vous faut. Restez fort ! Jérémy Bambini
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Vous n’avez pas besoin de motivation. Vous avez besoin d’un système. Avant, certains de mes clients me disaient : “Jérémy, j’adore ton programme… mais j’ai du mal à rester constant.” Pas à cause d’un manque de volonté. Pas à cause du temps. Mais parce qu’ils attendaient de “se sentir motivés”. Sauf que la motivation est capricieuse. Elle n’est jamais là quand on en a besoin. C’est pour ça que j’ai intégré un outil simple dans mes programmes :le Système Momentum. Ce n’est pas un programme à...
Pendant longtemps, je pensais que “repos” voulait dire “immobilité”. Pas de sport = canapé, séries, téléphone. Et bizarrement, je me sentais plus raide, plus lourd, moins motivé à reprendre. C’est là que j’ai compris : un jour OFF ne doit pas être un jour d’INERTIE. Aujourd’hui, mes jours sans entraînement sont peut-être les plus importants de ma semaine. Pourquoi ? Parce que c’est là que je récupère activement. Voici ce que je recommande à mes clients ces jours-là : Mobilité légère, dès le...
Avant, je croyais qu’un bon entraînement, c’était sortir vidé, trempé, brisé. Je suivais les programmes “hardcore”. Toujours plus lourd. Toujours plus long. Toujours plus de fatigue. Et je me disais que c’était normal d’être à plat, groggy, sans énergie le lendemain. Mais un jour, j’ai regardé mes résultats en face. Mon niveau stagnait. Mes hormones dégringolaient. Et chaque cycle se terminait par le même scénario : douleur → blessure → convalescence → pause → frustration. Alors j’ai changé...