Les shakes de whey sont un moyen pratique d’atteindre son quota de protéines journalier. Mais depuis que je suis une alimentation carnivore, je n’en prends plus, car je mange un peu plus de viande, donc plus de protéines et surtout… … ce que je mange est mieux assimilé. Vous n’avez donc pas besoin de whey. Une situation où je vois la whey utile serait d’être en déplacement dans une zone où la viande est de mauvaise qualité (ou inexistante). Si vous restez plusieurs jours sans protéines, cela pourrait être problématique. Mon aliment de choix quand je passe la journée dans un espace de coworking est une boîte de sardines sans huile. C’est pratique, durable et apporte une bonne source d’oméga-3, sans surcharger l’estomac. Les œufs durs sont une bonne alternative, même si ce mode de cuisson n’est pas optimal. Ça reste une bonne source de protéines légères et de graisses. Vous n’avez pas besoin de shakes de whey, car la viande vous apporte tout ce qu’il vous faut. Restez fort ! Jérémy Bambini
|
Pour recevoir le conseil du jour, rejoignez la Newsletter des Rebelles.
Aaah… vous aimez les hacks ? Je peux vous donner les miens, mais vous allez être déçu. J’y vais quand même : En voici 4 que j’ai gardés. Parce que tout le reste me ralentissait. 1. Un steak par jour Viande rouge. Œufs. Un peu de beurre. Du sel. C’est la base. C’est nourrissant. Et ça suffit. 2. Un kettlebell Un seul outil. Des mouvements fondamentaux. 20 minutes. Pas plus. Pas moins. Mais fait avec intensité et intelligence. 3. Le soleil Exposition quotidienne. Matin si possible. Et sans...
Vous n’avez pas besoin d’être en cétose pour aller bien. Rester en cétose constamment n’a jamais été le but de l’organisme humain. La preuve ? Votre foie sait transformer des protéines en glucose. Ça s’appelle la gluconéogénèse. Et c’est un mécanisme naturel, ancestral, vital. En clair : votre corps sortira de cétose s’il en a besoin. C’est normal. Et ce n’est pas un problème. Mais beaucoup l’oublient. Ils passent leurs journées à surveiller leur glycémie, à craindre chaque légume, à fuir la...
“Alors… vous êtes carnivore maintenant ?” C’est la question qu’on m’a posée après que j’ai partagé ce que je mange. Je comprends pourquoi. Le cerveau adore coller des étiquettes. Mais non. Je ne suis pas carnivore. Je ne suis pas paléo. Ni kéto. Ni quoi que ce soit qui finit en “o”. Je suis juste quelqu’un qui en a eu marre d’être baladé. Un jour, j’ai pris du recul. J’ai regardé ce qui me faisait vraiment du bien. Pas ce que disait le dernier podcast. Pas ce que faisaient les influenceurs....